dimanche 4 décembre 2011

Trail du porteur d'eau : on dirait que ca te gène de marcher dans la boue !

Souffrance exagérée ?


Je cours de moins en moins depuis le début de ma scolarité à l'EHESP. Preuve en est que pour préparer le trail dominical, je n'ai couru que vendredi avec 7 km ...
La distance du jour est de 17.2 km au lieu des 15,8 annoncés. Du rab et de la boue en plus.

Nous sommes près de 192 sur la course individuelle, les couples partiront 10' plus tard.

Je pars sur un bon rythme mais les meilleurs sont déjà loin. La boue est déjà présente avec des passages compliqués où la seule possibilité est de s'engager franchement sur un terrain gras sur lequel les trabucco sont bien utiles.


C'est dur !

Je progresse à présent diffcile sur un sentier monotrace à travers la forêt puis de larges chemins avec un terrain moins difficle.
Le dénivelé reste doux comparé aux trails alpins. Les kilomètres s'enchainent, l'effort est finalement agréable malgré des cuisses qui commencent à souffrir.

Nous sommes trois quatre coureurs à quelques mètres d'intervalle ce qui me permet de ne pas faire fausse route malgré un excellent fléchage.

Nous débouchons sur une longue ligne droite de 3 km, une route forestière où le vent s'engouffre et me rafraichit.

 Après ce 3000 mètres steeple, nous arrivons à la périphérie de Thorigné-Fouillard en traversant les nombreux lotissements. J'accélère selon mes capacités de l'instant pour arriver 108ème sur 190 arrivants.
Un départ sous le soleil breton ...

Finalement, rien ne change, je suis toujours dans les eaux "tièdes" du classement (56%). J'ai bien aimé ce format qui ne nécessite pas de préparation spécifique avec un parcours agréable à travers la forêt et les pâturages bretons.



2 commentaires:

Thierry a dit…

ça doit te changer des trails sud-alpins...
bonne récup. et bonnes fêtes de fin d'années (gare aux kilos!)

Martine Assandri a dit…

ca te va bien l'orange ... ;)